mardi 11 janvier 2011

No woman no cry religion

Salim, donc.
En soi pas un mal, simplement, à la fin de la journée, une tristesse, une lassitude, un besoin de plonger dans autre chose, et de manière sûre, de pouvoir donner sans avoir à se poser la question de savoir à qui? pourquoi? qu'en feront-ils? Pouvoir avoir confiance, et se laisser aller.
Bien sûr, c'est le lot de chaque voyage, mais on projette toujours tellement sur l'Inde et sur sa spiritualité qu'il est difficile de ne pas aspirer à n'en voir que cela ou presque, et les masses, et les affux de touristes sont d'autant plus difficiles à digérer.



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